Justine Lévy dévoile son nouveau livre poignant sur le deuil maternel

« Une drôle de peine » : Justine Lévy explore avec émotion la disparition de sa mère

Dans la rentrée littéraire 2025, Justine Lévy revient sur un thème qui la hante : la relation complexe avec sa mère, Isabelle Doutreluigne, décédée en 2004. Son dernier livre, « Une drôle de peine » (Stock), a été salué par la critique pour sa puissance émotionnelle et son traitement sincère du deuil maternel. Le podcast Le Masque et la Plume l’a présenté comme un « très beau livre » marquant cette rentrée littéraire.

Un récit ancré dans l’intime et la mémoire

Justine Lévy évoque sans détour l’enterrement de sa mère, moment fondateur d’une douleur persistante. Ce livre n’est pas une simple autofiction, mais un travail de confrontation avec une absence qui continue de peser. Dans une interview avec l’écrivaine Jakuta Alikavazovic pour Le Monde des Livres, elle décrit la saturation littéraire autour des mères et la nécessité de poursuivre cette exploration intime. Comme dans ses précédents ouvrages, Justine Lévy tourne autour de cette figure maternelle insaisissable.

Un retour attendu et salué dans la littérature contemporaine

Cette rentrée littéraire est marquée par une forte tendance à l’archéologie familiale et l’exploration des relations mère-fille. Justine Lévy s’inscrit dans ce mouvement mêlant autobiographie et fiction pour sonder les blessures et secrets familiaux. Son œuvre, reconnue avec des succès tels que Rien de grave, continue d’évoluer vers une écriture de la douleur et de la mémoire.

Le poids de la mère dans l’œuvre de Justine Lévy

Justine Lévy, née en 1974, est une écrivaine française reconnue pour sa capacité à mêler autofiction et récit intime.
« Une drôle de peine » revient sur la mort de sa mère, une figure centrale dans sa vie et son écriture.
Son écriture explore les souvenirs, les peines, les non-dits et les tensions familiales.
La critique souligne la justesse et la sensibilité avec lesquelles elle aborde le deuil maternel.
Elle rejoint d’autres auteurs de la rentrée littéraire 2025 qui mettent en lumière les dynamiques familiales complexes.

Avec « Une drôle de peine », Justine Lévy offre une œuvre qui parle à tous ceux qui ont connu la perte d’un être cher, affirmant sa place majeure dans le paysage littéraire contemporain français.

Qui est la mère de Justine Lévy ?

La mère de Justine Lévy, Isabelle Doutreluigne, ancienne mannequin, a été marquée par des difficultés, notamment une addiction aux psychotropes. Décédée en 2004, elle a profondément influencé l’œuvre de sa fille, qui explore cette relation complexe et le deuil maternel dans ses livres, notamment dans « Une drôle de peine ».

Justine Lévy : une vie marquée par l’ombre d’Isabelle Doutreluigne

Justine Lévy, née en 1974 à Paris, est la fille de Bernard-Henri Lévy et d’Isabelle Doutreluigne. Sa mère, tourmentée par une addiction, a laissé une empreinte indélébile sur sa vie et son œuvre. Divorcés dès sa naissance, ses parents ont connu une relation tumultueuse, et Isabelle Doutreluigne a été incarcérée, ne pouvant reprendre la garde de Justine.

Un parcours personnel et littéraire profondément lié à sa mère

Cette relation complexe s’est traduite dans une écriture souvent autobiographique où Justine Lévy explore le deuil, la douleur et les non-dits familiaux. Son dernier ouvrage, « Une drôle de peine », poursuit cette exploration intime du deuil maternel avec une émotion poignante, confirmant l’importance centrale de cette figure dans sa vie et son œuvre.

Patrick Mille : un compagnon et soutien discret dans sa vie

Depuis 2004, Justine Lévy partage sa vie avec l’acteur et réalisateur Patrick Mille, avec qui elle a eu deux enfants, Suzanne et Lucien. Ce couple, uni depuis plus de vingt ans, apparaît comme un pilier stable dans le parcours personnel de l’écrivaine. Leur relation offre un cadre familial apaisé, que Justine évoque avec tendresse dans ses interviews.

Un destin familial qui nourrit une œuvre littéraire singulière

Outre la figure de sa mère, Justine Lévy porte l’héritage intellectuel de son père, mais son écriture fait surtout entendre une voix personnelle, marquée par la douleur et la résilience. Sa capacité à mêler autofiction et récit intime lui a valu une place majeure dans la littérature française contemporaine, notamment pour son traitement sincère des blessures familiales.